Comment S'appelle Les Bus Rouge De Londres En Anglais
| Autobus de Londres London Buses | ||
 Logo des passenger vehicle de Londres | ||
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 Autobus à impériale Routemaster. | ||
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| Situation |  Grand Londres | |
|---|---|---|
| Type | Motorcoach | |
| Entrée en service | 1829 | |
| Propriétaire | Send for London (TfL) | |
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Le autobus est, à Londres, un des moyens de send en commun de la ville avec le métro, le railroad train, le DLR et le tramway.
Les bus londoniens doivent notamment leur célébrité aux fameux bus à impériale de couleur rouge.
Généralités [modifier | modifier le code]
Il existe 673 lignes, en comptant les bus de nuit, qui fonctionnent lorsque le métro est fermé.
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Jitney Volvo de la compagnie First.
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Nouvel autobus hybride de la compagnie Arriva.
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Un bus de blazon Alexander ALX400 (à g.) déboitant un AEC Routemaster de 1963.
Histoire [modifier | modifier le lawmaking]
Organization [modifier | modifier le code]
| Dates | Organisme | Supervisé par |
|---|---|---|
| 1933-1947 | London Rider Transport Board | London Canton Council |
| 1948-1962 | London Ship Executive | British Transport Committee |
| 1963-1969 | London Transport Board | Ministère des Transports |
| 1970-1984 | London Transport Executive (seulement dans le 1000 Londres) | Greater London Council |
| 1970-1986 | London Country Jitney Services (Green Line uniquement) | National Bus Company |
| 1984-2000 | London Regional Send | Secrétaire d'État aux Transports |
| 2000- | Send for London | Maire de Londres |
Thomas Tilling, fondateur de la Thomas Tilling Ltd.
Des bus sont utilisés dans les rues de Londres depuis 1829, lorsque George Shillibeer mit en place son service d'omnibus à cheval de Paddington à la City. En 1850, Thomas Tilling [1] lança son propre réseau d'omnibus et dès 1855 la London Full general Omnibus Visitor (LGOC) fut fondée afin de fusionner et réguler le différentes compagnies exploitant ce marché en pleine expansion [two] .
La LGOC commença à utiliser des autobus motorisés en 1902, et à les fabriquer à son compte en 1909. En 1904, Thomas Tilling lança son premier service d'motorbus à moteur. Le dernier passenger vehicle à cheval fut retiré du service le 25 octobre 1911, même si des opérateurs indépendants les utilisèrent jusqu'en 1914 [3] .
Passenger vehicle de la London General Visitor en 1903
En 1909, Thomas Tilling et LGOC entamèrent des discussions afin de mettre en commun leurs ressources. L'accord final limitait l'expansion de Thomas Tilling dans Londres, et autorisait la LGOC à mener une fusion de la plupart des concurrents. Cependant, aussi en 1909, Thomas Clarkson fonda la National Steam Car Company afin d'exploiter des motorbus à vapeur en concurrence avec la LGOC. En 1919, la National se mit d'accord avec la LGOC en vue de se retirer du marché des transports londoniens, et les bus à vapeur cessèrent dès lors d'être exploités [iv] .
De LPTB à LRT [modifier | modifier le code]
En 1912, le Underground Group, qui à cette époque exploitait la plupart du métro de Londres, acheta la LGOC. En 1933 la LGOC, ainsi que le reste de l'Underground Group, devint une branche du tout récent London Rider Transport Lath. Le nom de London General fut remplacé par celui de London Transport, qui serait désormais associé aux célèbres autobus rouges [v] .
Des numéros de ligne furent utilisés cascade la première fois en 1906. Quand des entreprises indépendantes débutèrent en 1922, elles utilisaient des numéros différents pour chaque trajet, associés à une lettre désignant les branches de chaque trajet. En 1924, avec le London Traffic Deed, le pouvoir de donner les numéros de trajet fut accordé à la Metropolitan Police, ainsi désormais tous les jitney quelle que soit leur compagnie affichaient les mêmes noms pour chaque trajet. Ceci conduisit assez rapidement à un chaos monstre, et le London Passenger Act de 1933 redonna ce pouvoir aux professionnels [6] . Les lettres disparurent graduellement au fil des ans, la dernière ligne les utilisant, la 77A, étant devenu la ligne 87 en juin 2006.
Le LPTB, dirigé par Lord Ashfield, gérait toutes les lignes dans la London Passenger Transport Expanse, une zone allant jusqu'à 30 miles autour du centre de Londres. Cela incluait les services ruraux de London General (qui devinrent plus tard les autobus vert du London Transport) , les Green Line Coaches, et la plupart des lignes du Tilling Group et de toutes les autres compagnies.
Les autobus de Londres continuèrent d'être exploités sous la bannière London Transport de 1933 à 2000, même si 50'organisme de tutelle changea de nombreuses fois. Le LPTB fut le gestionnaire de 1933 à 1947 avant d'être replacé par le London Transport Executive de 1948 à 1962. Le London Transport Board fut ensuite responsable de London Transport de 1963 à 1969, avant de passer la main au Greater London Council de 1970 à 1984, lui-même remplacé à partir de 1984 et jusqu'en 2000 par London Régional Transport.
Cependant, en 1969, la législation obligea au transfert des lignes rurales, les motorbus verts, à la National Double-decker Company. Appelés London Country, ces omnibus ainsi que les Green Line Coaches passèrent sous la responsabilité d'une filiale de NBC, London Country Charabanc Services, le 1er janvier 1970.
United nations réseau d'autobus limited fut mis en identify par London Transport dans le centre de Londres sous le nom de Red Arrows (Flèches rouges). Les lignes, toute numérotées en 5xx, partaient d'une ligne principale et se dirigeaient vers des lieux précis de W Stop et de la Urban center. Ce service fut introduit en 1966 et étendu en 1968, mais dans les années 1990 les lignes furent globalement arrêtées et aujourd'hui seules subsistent les lignes 507 et 521 [7] .
En 1979, la gestion des autobus de Londres fut divisée en huit districts, comme montré dans le tableau ci-dessous :
| District | Quartiers | Logo (situé au-dessus de la rondelle LT) |
|---|---|---|
| Abbey | Due west central | Couronne |
| Cardinal | Ouest et sud-ouest | Buste de Thomas Wolsey |
| Forest | Est et nord-est (d'après la forêt d'Epping) | Écureuil |
| Leaside | Nord (d'après la Lea) | Cygne |
| Selkent | Sud-est | Gerbe de houblon |
| Belfry | East primal | Tour Blanche |
| Wandle | Sud (d'après la rivière Wandle) | Roue à eau |
| Watling | Nord-ouest | Buste de soldat romain [8] |
Les districts furent par la suite réorganisés et réduits à six (avec la suppression de Belfry et Watling) avant d'être supprimés en 1989, suivant le Transport Act de 1985 qui rendait imminente la privatisation
Privatisation [modifier | modifier le code]
Dans les années 1980, le gouvernement de Margaret Thatcher décida de privatiser fifty'industrie du send par motorcoach en Grande-Bretagne. À cette époque, les réseaux locaux étaient dominés par London Ship à Londres, et dans les autres grandes villes par d'importantes compagnies municipales. De plus le gouvernement possédait la National Bus Company ainsi que le Scottish Bus Group. Le Ship Act de 1985 conduisit à une dérégulation de ce marché à travers la Grande-Bretagne qui permit 50'ouverture de nombreux opérateurs privés et mit les mairies face aux réalités du marché [9] .
À Londres, un modèle totalement différent fut mis en identify ; le Transport Deed entraîna la privatisation des coach de Londres, ainsi que la création d'une filiale concurrente de London Send appelée London Buses, qui n'avait cependant des responsabilités que dans le choix des niveaux de service, des trajets, des fréquences, et des tarifs, en partenariat avec le service public qui gérait le service proprement dit.
Ce régime est toujours en place aujourd'hui, et les autobus de Londres sont en concurrence avec de nombreuses compagnies privées. En 2000, avec la formation de la Greater London Autorithy, la responsabilité de London Buses passa de la compagnie étatique London Régional Send à une branche de la Mairie de Londres, Transport for London.
Véhicules [modifier | modifier le lawmaking]
Depuis les débuts de la London General Omnibus Company (LGOC) dans les années 1900, et ce jusque dans les années 1960, Londres posséda ses propres véhicules, différents de ceux utilisés dans le reste du pays. Associated Equipment Company fut créé comme filiale de la LGOC en 1912, afin de construire des autobus pour sa compagnie-mère, et resta dans le giron de LGOC et ses successeurs jusqu'en 1962. La plupart des autobus desservant les lignes locales de Londres étaient ainsi construits par AEC, même si d'autres constructeurs ont aussi pu fournir des autobus spécifiques à Londres, où ont modifié des véhicules préexistants [3] .
Le dernier bus spécialement dessiné pour les transports londoniens fut le AEC Routemaster, construit de 1956 à 1968. Depuis ce temps, les double-decker de Londres sont des variantes de modèles utilisés dans tout le pays, même si les constructeurs continuent à proposer une London Specification dans leur gamme. Quelques constructeurs ont même été jusqu'à construire des modèles spécialement destinés à la capitale britannique, comme le Daimler Fleetline ou bien le Leyland Titan.
Londres vit aussi dans les années 1980 et 1990 l'émergence de modèles de minibus et midibus, à la fois pour offrir plus de souplesse sur les lignes en fonction de l'abundance, ainsi que sur des trajets inaccessibles au motorcoach de taille normale.
Londres fut l'une des premières grandes villes à utiliser des autobus à plancher bas. À partir de 2000, aux bus à impériale formant la majorité du parc furent ajoutés des jitney articulés, notamment 393 Mercedes-Benz Citaro [10] . Ils furent introduits afin de pallier l'arrêt des Routemaster, possédant de plus une capacité d'emport de passagers plus importante [xi] . Une petite flotte d'omnibus hybrides fut aussi lancée [12] .
Nouveau Routemaster et retrait des motorcoach articulés [modifier | modifier le lawmaking]
Lors de la campagne pour les élections municipales de 2008, le candidat Boris Johnson fit de nombreuses promesses pour changer les coach de Londres, il due south'engagea notamment à introduire un nouveau Routemaster et à retirer du service les autobus articulés. Johnson fut élu le four mai 2008, et le 4 juin, Ship for London annonça l'ouverture de l'appel d'offres New Coach for London [13] , destiné à produire un nouveau Routemaster hybride à l'horizon 2012 (année de l'élection municipale suivante) [12] .
En août 2008, le commissaire aux Transports de Londres, Peter Hendy, annonça que le retrait des motorbus articulés commencerait dès 2009. Afin de réduire les coûts additionnels cascade TfL, les motorcoach seraient retirés lorsque leurs contrats de 5 ans arriveraient en période de renouvellement, et les véhicules de remplacement seraient choisis par les opérateurs. Les options pour le remplacement n'excluaient pas des mesures originales, comme des bus triple-essieu. Cependant, une étude indiqua que le retrait des véhicules articulés resterait malgré tout coûteux ; l'clan London Travel Scout estima le coût de remplacement de tous les jitney articulés de trois lignes tout en maintenant une capacité similaire coûterait 12,half dozen millions de livres supplémentaires par an, à crusade du plus grand nombre de véhicules nécessaire [14] .
Le vii décembre 2008, Boris Johnson fit un passage dans Acme Gear, ce qui fut l'occasion pour Jeremy Clarkson de l'interroger sur le remplacement des double-decker articulés, qui aurait déjà dû commencer, ce à quoi fifty'intéressé répondit en fixant une date butoir courant 2010. Quelques épisodes auparavant, le présentateur Richard Hammond avait commenté une course entre différent types de jitney utilisés à Londres, qu'un bus à unproblematic étage avait remportée tandis que le motorbus à impériale due south'était couché sur le flanc au dernier virage.
Les premiers motorcoach à être retirés ont été les Red Arrow des lignes 507 et 521 (même si cette dernière ne pouvait utiliser des bus à impériale à cause du tunnel sous le Strand qu'elle empruntait) , en mai 2009, suivis par la ligne 38 en juillet. Tous les autobus avaient été renouvelés le ix décembre 2011.
En mai 2010, Boris Johnson dévoila le dessin du nouveau Routemaster, décrit comme un autobus à forte personnalité destiné exclusivement à l'usage à Londres [15] . Les véhicules, dessinés par Heatherwick Studio et construits par Wrightbus possédaient deux escaliers, trois portes et une plateforme ouverte permettant la montée et la descente des passagers, et seraient normalement lancés en 2012 [xvi] .
En décembre 2011, le magazine automobile Autocar testa le nouveau Routemaster sur route. Il était décrit comme possédant « un intérieur à tomber à la renverse » , « le meilleur ship public » [17] . Il obtint une note supérieure à celle du Wright Gemini Hybrid 2, du Mercedes-Benz Citaro et du AEC Routemaster.
Cependant, en décembre 2016, le nouveau maire de Londres Sadiq Khan décida que les commandes seraient stoppées après seulement 805 exemplaires livrés alors que Boris Johnson envisageait de constituer une flotte de 2000 de ces véhicules [18] .
Notes et références [modifier | modifier le code]
- «Thomas Tilling Ltd: 1849-1969 », sur www.petergould.co.united kingdom (consulté le )
- « From charabanc to ecobus, 1829-1850 », (version du 9 juin 2007 sur fifty'Internet Archive)
- « From omnibus to ecobus, 1901-1913, tertiary page », (version du 30 juin 2007 sur l'Net Annal)
- «General History: The Steam Motorbus 1833-1923 », sur world wide web.petergould.co.uk (consulté le )
- « from omnibus to ecobus, 1919-1938, 3rd page », (version du 8 juin 2007 sur l'Internet Archive)
- (en) Marshall Prince, «Wheels of London », The Sunday Times Magazine , , p. 56-57
- (en) Marshall Prince, «Wheels of London », The Sunday Times Magazine , , p. 114
- «London Ship Local Bus Maps », sur www.eplates.info (consulté le )
- (en) David Parker, The Official History of Privatisation, Routledge, , p. 232
- (en) Bus magazine, August 2008 issue, p. five
- «BBC News | ENGLAND | 'Innovative' bendy buses », sur news.bbc.co.uk (consulté le )
- «Hybrid buses Ship for London » [annal du ] , (consulté le )
- «A New Autobus For London Ship for London » [archive du ] , (consulté le )
- «Consultation on articulated motorcoach routes 38, 507 and 521 » [archive du ]
- (en) «Render of the Routemaster: Boris Johnson unveils new version of archetype double-decker charabanc you hop on and off », Post Online , (lire en ligne, consulté le )
- (en) Margaret Canning, «Boris hails £7.8m deal for London bus with Ballymena firm - BelfastTelegraph.co.uk », BelfastTelegraph.co.uk , (lire en ligne, consulté le )
- (en) «New Bus for London driven », sur world wide web.autocar.co.uk (consulté le )
- (en-GB) Daniel Boffey Policy editor, «London's 'Boris double-decker' reaches cease of road as Sadiq Khan halts purchases », The Guardian , (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le )
Voir aussi [modifier | modifier le code]
Manufactures connexes [modifier | modifier le code]
- Bus à impériale
- Transport à Londres
- Transport for London (TfL)
- Oyster bill of fare
Lien externe [modifier | modifier le code]
- (en) Site officiel de TfL
Comment S'appelle Les Bus Rouge De Londres En Anglais,
Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Autobus_de_Londres
Posted by: mcnerneyfactly.blogspot.com
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